Du dos de la joggeuse,
Aimer la sueur qui perle,
En aspirer les effluves
Comme on le ferait d’un parfum,
Et se réjouir de se sentir vivant :
Ô animal plein d’animalité !
Du dos de la joggeuse,
Aimer la sueur qui perle,
En aspirer les effluves
Comme on le ferait d’un parfum,
Et se réjouir de se sentir vivant :
Ô animal plein d’animalité !