Skip to content
  • Accueil
  • Aldor
  • Improvisations
  • Images
  • Promenades
  • Accueil
  • Aldor
  • Improvisations
  • Images
  • Promenades

Lignes

des mots, des phrases, des lignes

poème

  • Home
  • poème
poème

Camille

Ce matin, Descendant ma poubelle, J’ai croisé dans ma cour…

Nov 29, 2019
Aldor
0
Question

Envie

Peut-on, quand la nuit vient, ne pas vouloir – peut-onNe…

Nov 21, 2019
Aldor
0
Idées

Singularité

Pour devenir quelque chose le dé Doit renoncer à être…

Nov 16, 2019
Aldor
0
poème

Eve

A Autun l’Eve aux longs cheveux Qui coulent comme une…

Oct 22, 2019
Aldor
2
poème

Le sabre et l’archet

A la primatiale Saint-Jean-Baptiste de Lyon, Une femme jeune et…

Oct 5, 2019
Aldor
1
poème

Irénée

J’aime bien Irénée qui, dans le Lyon antique, Défendit l’unité…

Oct 3, 2019
Aldor
1
poème

Le baiser de la pluie

Dans la goutte de pluie qu’elle m’apprit à aimer, Le…

Sep 22, 2019
Aldor
1
poème

Petits dessins

Je me suis souvenu, tandis que je courais Dans cette…

Sep 15, 2019
Aldor
0
poème

Un sauveur à sauver

A force de guetter un chat dont je craignaisQu’il ne…

Sep 13, 2019
Aldor
2
poème

À la recherche de K.

Courant le long des grilles de l’École des Mines, N’ai…

Sep 8, 2019
Aldor
0

Improvisations

Le monde que nous voulons sauver

Le monde que nous voulons sauver

Ce que je veux sauver, c’est l’enfance et le jaillissement joyeux, incontrôlé et anarchique de la vie, le monde dans son perpétuel recommencement, dans son continuel balbutiement, dans son éternel inachèvement.

Ce qu’on désire, dans le désir, c’est le désir de l’autre

Ce qu’on désire, dans le désir, c’est le désir de l’autre

Célimène et Conchita sont malheureuses. Elles restent au bord de leur vie. Elles sont puissantes et ont prise sur ceux qui les aiment mais il n’y a derrière qu’un grand vide, une grande peur de n’être plus maîtresses d’elle-mêmes. Une grande peur de vivre.

Vitesse, universalité et service public

Vitesse, universalité et service public

Le service public, qui va partout, qui est partout, est ce qui permet de renouer avec le territoire, avec son épaisseur, ses contradictions, ses beautés et ses laideurs.

Sortir de sa boîte d’ivoire

Sortir de sa boîte d’ivoire

La difficulté, en effet, avec le vrai futur, c’est qu’il n’est prévisible que dans un cadre d’hypothèses ; mais qu’en dehors de ce cadre, il est foncièrement imprévisible.

La malédiction de Cassandre

La malédiction de Cassandre

Alerter est parfois indispensable et nécessaire. Mais il faut tourner sept fois sa langue dans sa bouche avant de le faire, et veiller à ne jamais céder à la tentation  d’avoir à tout prix raison.

Aldor (le blog)

Le mépris, le déni et le monde qui se délite

Le mépris, le déni et le monde qui se délite

Le mépris, d’Alberto Moravia, raconte la progressive découverte, par un homme, de ce qu’il sait déjà, de ce qu’il sait depuis le début. C’est le récit d’un déni qui s’achève, pareil à celui que nous ressentons face au monde qui s’abîme, le voyant se déliter sans cependant y croire vraiment, écartelés que nous sommes entre l’aveuglement, le refus de la culpabilité, une précoce nostalgie et une trop tardive espérance.

Read the postLe mépris, le déni et le monde qui se délite

L’aplatissement du monde

L’aplatissement du monde

Celui qui n’a pour seul outil qu’un marteau ne peut qu’inlassablement taper ; et les sociétés qui n’ont comme moyen d’évaluation des êtres et des choses que l’argent ne peuvent que les exploiter, les piller si elles le peuvent.

Read the postL’aplatissement du monde

Jeanne, Charlotte et les autres

Jeanne, Charlotte et les autres

Ce sont quatre photos prises au même endroit. Dans les trois dernières, je reconnais Jeanne ; je ne la reconnais pas dans la première. Ou peut-être est-ce la petite fille dans l’ombre. Dans l’ombre, probablement, de sa grande sœur Charlotte.

Read the postJeanne, Charlotte et les autres

L’épaisseur du monde : la pensée écologique, de Timothy Morton

L’épaisseur du monde : la pensée écologique, de Timothy Morton

L’épaisseur du monde, c’est la conscience d’une interaction difficile : tout est imbriqué dans ce jeu de billard à mille bandes où volent des effets-papillons et où les choix ne sont simples que pour ceux qui ne voient que la surface des choses.

Read the postL’épaisseur du monde : la pensée écologique, de Timothy Morton

Le jeu des perles de verre : introduction à notre entrée dans le Moyen-âge

Le jeu des perles de verre : introduction à notre entrée  dans le Moyen-âge

On se rendit compte progressivement – comme on peut parfois avoir l’impression de le vivre aujourd’hui – que l’Empire riche et dominant allait à sa perte, et que le seul moyen de lui survivre était de s’en détacher, et de bâtir, à l’écart des grandes routes et des grandes villes impériales, des villages éloignés du progrès mais qui, pour cette raison, gagneraient en résilience.

Read the postLe jeu des perles de verre : introduction à notre entrée dans le Moyen-âge

Images

La marcheuse du Pont des arts

La marcheuse du Pont des arts

Feuille morte dans l’eau

Feuille morte dans l’eau

Anges un peu déchus

Anges un peu déchus

Poubelles

Poubelles

Tuyauteries

Tuyauteries

Promenades

Autun (4. Ève, cathédrale Saint-Lazare, musée Rolin)

Autun (4. Ève, cathédrale Saint-Lazare, musée Rolin)

C’est pour voir Ève, la belle Ève de Gislebertus, que je suis venu à Autun. Et aussi pour le tympan de la cathédrale et ses chapiteaux.

Autun (3. Couhard et cascade de Brisecou)

Autun (3. Couhard et  cascade de Brisecou)

Pour qui vient de Paris, l’une des merveilles des petites villes comme Autun est l’accès immédiat à la campagne, à la vraie campagne.

Autun (2. les vestiges romains)

Autun (2. les vestiges romains)

Autun (Augustodunum), « sœur et émule de Rome », fut fondée par l’empereur Auguste au début de notre ère. Elle a gardé de nombreux et beaux vestiges de cette période et de son statut de capitale.

Autun (1. Promenade dans la ville)

Autun (1. Promenade dans la ville)

Je suis arrivé à Autun un jour de grève des trains. J’ai débarqué sur le quai d’Étang-sur-Arroux, 278 mètres d’altitude, et le train qui devait aller à Autun ayant été supprimé, j’ai attendu deux heures le car de la SNCF, ce qui m’a laissé le temps d’apprécier les rails, et la beauté du jaune des sacs d’engrais contre le gris du ciel.

Nevers

Nevers

Je devais rester quelques minutes à Nevers, le temps de changer de train ; une grève des agents de la SNCF m’a fait y rester quatre heures. J’ai pu ainsi m’y promener un peu, voir Bernadette et la cathédrale.

Copyright © 2019. Blogberg Theme by Keon Themes