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Timeo Danaos et dona ferentes

Posted on 9 avril 20227 septembre 2022

Il a raison, Laocoon, de se méfier des prétendus cadeaux de l’ennemi. Mais on ne peut pas, d’un autre côté, toujours juger les actes, les choses, les cadeaux, les paroles, à l’aune de qui les fait, les porte, les prononce. On ne peut pas toujours superposer à la réalité objective du monde la connaissance que nous croyons avoir des intentions ou des pensées des autres.

Le grand enfermement

Posted on 28 mars 20227 septembre 2022

L’agression russe en Ukraine, la famine un peu partout, la guerre civile au Yemen, la pauvreté, la maladie, les espèces qu’on détruit, les espaces qu’on salit, le grand épuisement du monde, le grand gâchis des choses et des êtres, et là, cerise sur le gâteau comme s’il en était besoin, cette interdiction faite aux femmes comme l’annonce à Marie, d’étudier, de diriger, de voyager, ce grand enfermement des femmes afghanes dans leur burqua, son chez lui, leur ignorance.

Oncle Bernard

Posted on 27 mars 20227 septembre 2022

Ce qui fait la valeur de la croyance, de la foi, de l’amour, du don, c’est évidemment qu’ils sont librement et joyeusement donnés, épousés, consentis. Comment peut-on ne pas comprendre que, forcés, ils ne sont plus rien ?

Malédiction de la beauté

Posted on 9 mars 20227 septembre 2022

La beauté porte en elle les affres, les vicissitudes, les tribulations de l’incarnation. Et parce que les femmes sont, chez les humains, beaucoup plus assignées à leur corps que ne le sont les hommes, elles subissent l’essentiel de cette ambivalence, de cette injonction contradictoire : être belle mais ne pas en faire trop ; rayonner tout en restant discrète.

Défaite du cynisme

Posted on 3 mars 20227 septembre 2022

Je ne sais qui sortira vainqueur de l’agression de l’Ukraine par la Russie. Ce que je sais et vois et qui me stupéfie, c’est la défaite du cynisme, La défaite de tous ceux (et certes j’en fais partie !) qui pensaient que : On s’accommoderait de ce malheur supplémentaire, De la douleur, de la souffrance,…

« Life never becomes a habit to me. It is always a marvel »

Posted on 27 février 20227 septembre 2022

Aussi paradoxal que cela puisse paraître, le plus bel hommage qu’on puisse rendre à la vie est, comme le proposait si justement Fanny Ardant, de la vivre avec désinvolture.

Souligner

Posted on 22 février 202211 septembre 2022

La lecture est proche de l’amour. On en attend ce qui rassure, conforte et apaise ; mais aussi ce qui provoque, étonne, dérange ; et on y cherche plus que tout on  la porte des étoiles, qui nous conduit d’un monde à l’autre, nous emporte et nous transporte.

Insouciance

Posted on 18 février 202211 septembre 2022

Il faut, pour jouir de la vie, en user avec  légèreté ; peut-être même avec dédain.

Les seins de Dalida et les pieds de Montaigne

Posted on 16 février 202211 septembre 2022

Les seins de Dalida et les pieds de Montaigne, cela résume assez bien le regard différent que nous jetons sur les femmes et les hommes, l’importance différente que nous attachons à leur corps

L’objet du désir

Posted on 14 février 202211 septembre 2022

Pourquoi le désir de posséder ?

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Aldor (le blog)

Hécube, pas Hécube (de Tiago Rodrigues)

Hécube, pas Hécube (de Tiago Rodrigues)

Il y a la scène, qui n’est pas simplement le miroir mais le lieu de la répétition, le lieu singulier de la répétition, d’une répétition qui jamais ne se répète : simul et singulis. La scène est le lieu passeur de mondes, sorte d’Aleph où se crée, se façonne, évolue, sous la parole sage et prophétique du choeur, ce qui n’est pas encore figé, où se crée ce qui sera plus tard avant que le plus tard, que le trop tard n’advienne.

Une révolution intérieure (de Gloria Steinem)

Une révolution intérieure (de Gloria Steinem)

Les histoires que raconte Gloria Steinem dans Une révolution intérieure font penser à Modesta, la magnifique héroïne de L’Art de la joie, de Goliarda Sapienza. Ce sont des récits de renaissance, de naissance peut-être, à tout le moins de libération.

Printemps silencieux (de Rachel Carson)

Printemps silencieux (de Rachel Carson)

Le livre de Rachel Carson, à la fois solidement documenté et écrit avec poésie et humanisme, ne fut donc pas sans effet, il s’en faut de beaucoup. Et pourtant, soixante ans après, comme cinquante ans après le rapport Meadows, comment ne pas constater qu’il fut vain, en ceci que tout ce qu’il disait est à redire, que tout ce qu’il avait permis de commencer est à recommencer ?

L’adoration des mages (d’Augustin Frison-Roche)

L’adoration des mages (d’Augustin Frison-Roche)

L’adoration des mages est la pièce maîtresse de l’exposition Épiphanies que le Collège des Bernardins consacre à Augustin Frison-Roche.

La sorcière (de Jules Michelet)

La sorcière (de Jules Michelet)

C’est dans cette période de mort, de noirceur et d’étouffement, dans cette époque qui sera bientôt écrasée sous le joug féodal et battue sans relâche par les fourches d’un christianisme combattant tout ce qui lui résiste, que la sorcière apparaît, incarnant la résistance et le refuge.

Improvisations

Le sexe des iA(n)ges<br> 4. Le flacon et l’ivresse

Le sexe des iA(n)ges<br> 4. Le flacon et l’ivresse

Imaginons donc que, comme pour l’intelligence, la simple imitation de l’amour par prédiction probabiliste des mots et tokens susceptibles de poursuivre une suite de mots amoureux puisse, presque miraculeusement, créer un discours amoureux, un discours amoureux indiscernable de celui de l’amante ou de l’amant.

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Le sexe des iA(n)ges <br>3. Le test de Pygmalion

Le sexe des iA(n)ges <br>3. Le test de Pygmalion

Il serait utile de mettre au point, à côté du test de Turing que chacun connaît, un test plus particulier, appelons le test de Pygmalion, conçu pour évaluer la capacité des IA à simuler l’amour et ce qui va avec.

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Le sexe des iA(n)ges <br>2. La peur de l’abandon

Le sexe des iA(n)ges <br>2. La peur de l’abandon

Amantes et amantes IA : ces compagnes et compagnons devant le regard desquel.le.s nous ne tremblons pas, qui ne réveillent pas chaque jour en nous la terreur d’être un jour abandonné.e.s.

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Le sexe des iA(n)ges <br> 1. Galatée, Galatée, nous voulons notre Galatée !

Le sexe des iA(n)ges <br> 1. Galatée, Galatée, nous voulons notre Galatée !

Au fond, et depuis Pygmalion au moins, la seule chose qui nous intéresse vraiment, là dedans, c’est le sexe : le sexe et la sexualité des IA génératives : les IA peuvent elles aimer, les IA peuvent-elles faire crac crac ?

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Le delirium hypnocratique

Le delirium hypnocratique

Là est le lien entre hypnocratie et IA génératives : d’un côté, une réalité politique et stratégique sort de propos et d’actes erratiques ; de l’autre, du sens surgit de la juxtaposition statistique de mots incompris.

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Catananche

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Abeille

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Graphosome

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Coccinelle

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Myrte

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