Ô joie de s’allonger au soleil de juillet,
De sentir la chaleur sur ses joues et la brise
Qui souffle doucement, qui s’arrête puis reprend,
Caresse imprévisible et délicieuse et tendre.

Ô joie de s’allonger au soleil de juillet,
De sentir la chaleur sur ses joues et la brise
Qui souffle doucement, qui s’arrête puis reprend,
Caresse imprévisible et délicieuse et tendre.