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Étiquette : écologie

Toutes ces vies vidées des plaisirs de la vie

Posted on 22 février 202322 février 2023

Ce doit être bizarre de vivre et de n’avoir jamais vécu que dans cet entre soi, cet enclos vitré, loin des bruits, des cris, des lumières de la jungle ; de n’avoir jamais connu la fraîcheur de la pluie et la caresse du soleil, la senteur poivrée du pétrichor, la crainte et le bonheur mêlés d’être un parmi les autres êtres de la grande île natale.

Le malheur de Don Juan

Posted on 22 janvier 202322 janvier 2023

Dans le monde jetable et consommable que nous avons construit, ce monde où la beauté des feuilles est éclipsée par les réclames, nous sommes, toutes et tous, des Don Juan au petit pied, qui cherchons toujours ce que nous possédons déjà.

La vie large

Posted on 16 décembre 202216 décembre 2022

Il ne s’agit pas de nier le rôle de l’économie, de dire que la richesse et la pauvreté, ça n’existe pas ou c’est sans importance ; mais de passer d’un monde et d’un imaginaire dominés par l’économie à un monde et un imaginaire où elle n’occuperait que sa place, qui est grande mais non prépondérante.

L’amour et le malheur du monde

Posted on 4 décembre 20225 décembre 2022

Il faut, pour embrasser le malheur, avoir d’abord embrassé l’amour. Pour pleurer la destruction du monde, avoir d’abord compris qu’on l’aimait.

Le mépris, le déni et le monde qui se délite (reprise)

Posted on 12 août 20226 septembre 2022

C’était hier soir, à la Villa Carmignac, à Porquerolles : la beauté de Brigitte Bardot, le chapeau de Piccoli, la musique de Georges Delerue, la splendeur de Capri. Tout ça sous les pins et les eucalyptus, dans le chant des cigales qui peu à peu se taisaient tandis que, derrière l’écran, la lune se levait….

La deuxième Chute, ou peut-être la seule

Posted on 31 juillet 20226 septembre 2022

C’est dommage de gâcher cette chance, de perdre cette occasion.  Dommage de n’avoir pas su apprécier les merveilles au sein desquelles il nous avait été donné de vivre, et de devoir, par notre faute, quitter ce jardin en le laissant abîmé.

« I am that merry wanderer of the night »

Posted on 23 juillet 20226 septembre 2022

Voilà bien une chose qui nous manque, et depuis longtemps : de joyeux vagabonds de la nuit, des êtres légers et farceurs qui sachent nous arracher à la pesanteur des temps et à notre esprit de sérieux.

La foi du colibri

Posted on 8 juillet 20226 septembre 2022

Il doit bien se le dire, aussi, le colibri, que c’est inutile et même assez ridicule, ce rôle de sauveur qu’il se donne. Il doit y penser, au triangle de Karpman, à la bonne conscience, à la vanité et à tout ce que pourraient lui dire et pensent déjà peut-être les esprit forts qui le voient s’agiter en tous sens.

Sauter pour mieux reculer : les objectifs écologiques

Posted on 1 juillet 20227 septembre 2022

Nous confions ainsi à nos enfants le soin de résoudre l’immense paquet de problèmes que, chaque jour et patiemment, nous faisons grossir et fourgons sous leur tapis. Le contraire d’une attitude responsable.

Réserves

Posted on 9 juin 20227 septembre 2022

Il faut absolument que les hommes parviennent à préserver autre chose que ce qui leur sert à faire des semelles, ou des machines à coudre, qu’ils laissent de la marge, une réserve, où il leur serait possible de se réfugier de temps en temps.

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Aldor (le blog)

Hécube, pas Hécube (de Tiago Rodrigues)

Hécube, pas Hécube (de Tiago Rodrigues)

Il y a la scène, qui n’est pas simplement le miroir mais le lieu de la répétition, le lieu singulier de la répétition, d’une répétition qui jamais ne se répète : simul et singulis. La scène est le lieu passeur de mondes, sorte d’Aleph où se crée, se façonne, évolue, sous la parole sage et prophétique du choeur, ce qui n’est pas encore figé, où se crée ce qui sera plus tard avant que le plus tard, que le trop tard n’advienne.

Une révolution intérieure (de Gloria Steinem)

Une révolution intérieure (de Gloria Steinem)

Les histoires que raconte Gloria Steinem dans Une révolution intérieure font penser à Modesta, la magnifique héroïne de L’Art de la joie, de Goliarda Sapienza. Ce sont des récits de renaissance, de naissance peut-être, à tout le moins de libération.

Printemps silencieux (de Rachel Carson)

Printemps silencieux (de Rachel Carson)

Le livre de Rachel Carson, à la fois solidement documenté et écrit avec poésie et humanisme, ne fut donc pas sans effet, il s’en faut de beaucoup. Et pourtant, soixante ans après, comme cinquante ans après le rapport Meadows, comment ne pas constater qu’il fut vain, en ceci que tout ce qu’il disait est à redire, que tout ce qu’il avait permis de commencer est à recommencer ?

L’adoration des mages (d’Augustin Frison-Roche)

L’adoration des mages (d’Augustin Frison-Roche)

L’adoration des mages est la pièce maîtresse de l’exposition Épiphanies que le Collège des Bernardins consacre à Augustin Frison-Roche.

La sorcière (de Jules Michelet)

La sorcière (de Jules Michelet)

C’est dans cette période de mort, de noirceur et d’étouffement, dans cette époque qui sera bientôt écrasée sous le joug féodal et battue sans relâche par les fourches d’un christianisme combattant tout ce qui lui résiste, que la sorcière apparaît, incarnant la résistance et le refuge.

Improvisations

Construire le chaos

Construire le chaos

À quoi cette construction systématique d’un chaos des lieux, des vies, des esprits et des âmes ; à quoi  fait-elle penser, sinon à certaines des heures les plus sombres, les plus tristes, les plus désespérantes pde l’histoire humaine ?

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Narcisse, des automates aux IA

Narcisse, des automates aux IA

C’est dans le plaisir à la fois narcissique et prométhéen d’avoir su donner apparence de vie à une créature à notre ressemblance, y compris ses défauts, qu’est le coeur de notre fascination pour les IA.

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Que la montagne est belle (mais pas aussi passionnante que les femmes et les hommes)

Que la montagne est belle (mais pas aussi passionnante que les femmes et les hommes)

Nous sommes les enfants de la Chute et de Po-Io, le dresseur de chevaux, les héritiers de cette coupure d’avec le reste de la création, les filles et les fils de cette séparation initiale qui fit de nous ce que nous sommes. Et aussi liés que nous soyons avec les autres créatures, aussi intimement plongés que nous soyons dans le monde, nous sommes autres et jouissons d’abord de nous-mêmes.

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La mélancolie des orang-outans

La mélancolie des orang-outans

Nous sommes justement admiratifs de la rapidité et de l’efficacité des intelligences artificielles, de leur capacité à brasser une quantité phénoménale d’informations et à prendre des décisions dans l’urgence mais savons qu’au bout du bout et pour les choix les plus fondamentaux, il importe moins d’être rapide et efficace que de prendre le temps du recul, le temps de la mélancolie. C’est pourquoi, étonnamment,  à nos presque jumeaux : gorilles, et surtout chimpanzés et bonobos, nous préférons les orang-outans, ces cousins au regard pensif.

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Les beautés IAratiques

Les beautés IAratiques

Les grands modèles de langage (LLM) spécialisés dans la production graphique, Midjourney, par exemple, sont capables de générer des images, des pseudo portraits photographiques notamment, d’une grande beauté. Ils font preuve par défaut (parce qu’entraînés sur des modèles de qualité) d’un excellent goût en matière de composition, de lumière, de choix des couleurs, de profondeur de champ, de tonalités.

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Images

Larve de coccinelle asiatique

Larve de coccinelle asiatique

Pavot à l’abeille

Pavot à l’abeille

La langue rose de la vipérine

La langue rose de la vipérine

Vipérine

Vipérine

Porte

Porte
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