Les seins de Dalida et les pieds de Montaigne, cela résume assez bien le regard différent que nous jetons sur les femmes et les hommes, l’importance différente que nous attachons à leur corps

L’objet du désir
Pourquoi le désir de posséder ?

Tort/tord
Beaucoup de gens,Quand il s’agit d’avoir tort,Écrivent tort avec un dCar c’est la pensée qui se tordDans l’erreur ou le mensonge. L’image représente un poste d’instruments de circulation joliment décoré à proximité du carrefour entre le Boulevard Auguste Blanqui et la rue Corvisart, à Paris. Une sorte de représentation de la conscience, de l’oeil surveillant…

Que son âme soit reliée au faisceau de la vie
Que leurs âmes, à toutes et à tous, soient reliées au faisceau de la vie.
Trop humains
Sur quoi l’artiste a-t-il voulu attirer l’attention : sur la responsabilité de la femme dans la Chute, sur la lâcheté de l’homme qui se défausse sur elle ? Ou sur la puérilité de cette humanité incapable d’assumer ses fautes ?
Curiosité, avidité et anthropophagie
Aimer sans absorber, aimer sans emprisonner, aimer sans dévorer l’autre. Mais l’aimer aussi sans le nier, sans vouloir le dissoudre dans son propre soi-même.
Orphée
On se dit, par orgueil sans doute, par cette foi orgueilleuse dont l’amour est rempli, qu’on arrivera, à force de soin, de patience, d’attention, à ranimer cet être, à le ramener du pays des morts.
Effacement de la mémoire
Ces dialogues détricotés sont étranges. Ils redessinent une vie dont l’autre a disparu, où il n’y a plus que soi qui parle.
L’été indien et Simone Weil
D’un côté la vie, avec son flux continu, ses oublis, son infidélité, ses trahisons, sa schizophrénie quotidienne ; de l’autre le pur, le vrai, l’authentique, l’incorruptible, mais qui au bout du compte, aux compromissions de la vie, préfère la mort.
Tenter, séduire, plaire
Le plaire authentique et détaché de la séduction diffère cependant du séduire (et a fortiori du tenter) en ceci qu’il est gratuit et sans objectif. Non seulement le plaire ne cherche pas à plaire mais il ne cherche rien, n’implique aucune attirance, aucun désir chez celui qu’il a touché de son aile