Skip to content
Menu
Lignes
  • Accueil
  • Aldor
  • Improvisations
  • Images
  • Promenades
Lignes

Étiquette : cinéma

Le mépris, le déni et le monde qui se délite (reprise)

Posted on 12 août 20226 septembre 2022

C’était hier soir, à la Villa Carmignac, à Porquerolles : la beauté de Brigitte Bardot, le chapeau de Piccoli, la musique de Georges Delerue, la splendeur de Capri. Tout ça sous les pins et les eucalyptus, dans le chant des cigales qui peu à peu se taisaient tandis que, derrière l’écran, la lune se levait….

Ursula

Posted on 12 août 202117 février 2022

Je ne puis m’empêcher,Quand je sors de l’eau,Béni soit le Docteur No !Je ne puis m’empêcher,Quand je sors de l’eau,De me prendre pour Ursula. Lissant mes cheveux de mes mains,Séduisant et théâtral,Lissant mes cheveux de mes mains,Je m’avance, sculptural,Vers la plage bordée d’argent. Un pied posé devant l’autre,Comme on voit faire les modèles,Un pied posé…

Ralenti

Posted on 3 juillet 202117 février 2022

J’aime bien les ralentis dans les films publicitaires, Avec cette impression donnée qu’il suffirait De ralentir le temps pour que les choses prennent sens, Deviennent stupéfiantes et belles, Prodigieuses et mémorables. Et le plus amusant, incroyable, inouï, C’est que c’est vrai, Vrai qu’il en va vraiment ainsi. Prenez n’importe quoi, un quelconque moment, Et examinez-le…

Aldor (le blog)

Hécube, pas Hécube (de Tiago Rodrigues)

Hécube, pas Hécube (de Tiago Rodrigues)

Il y a la scène, qui n’est pas simplement le miroir mais le lieu de la répétition, le lieu singulier de la répétition, d’une répétition qui jamais ne se répète : simul et singulis. La scène est le lieu passeur de mondes, sorte d’Aleph où se crée, se façonne, évolue, sous la parole sage et prophétique du choeur, ce qui n’est pas encore figé, où se crée ce qui sera plus tard avant que le plus tard, que le trop tard n’advienne.

Une révolution intérieure (de Gloria Steinem)

Une révolution intérieure (de Gloria Steinem)

Les histoires que raconte Gloria Steinem dans Une révolution intérieure font penser à Modesta, la magnifique héroïne de L’Art de la joie, de Goliarda Sapienza. Ce sont des récits de renaissance, de naissance peut-être, à tout le moins de libération.

Printemps silencieux (de Rachel Carson)

Printemps silencieux (de Rachel Carson)

Le livre de Rachel Carson, à la fois solidement documenté et écrit avec poésie et humanisme, ne fut donc pas sans effet, il s’en faut de beaucoup. Et pourtant, soixante ans après, comme cinquante ans après le rapport Meadows, comment ne pas constater qu’il fut vain, en ceci que tout ce qu’il disait est à redire, que tout ce qu’il avait permis de commencer est à recommencer ?

L’adoration des mages (d’Augustin Frison-Roche)

L’adoration des mages (d’Augustin Frison-Roche)

L’adoration des mages est la pièce maîtresse de l’exposition Épiphanies que le Collège des Bernardins consacre à Augustin Frison-Roche.

La sorcière (de Jules Michelet)

La sorcière (de Jules Michelet)

C’est dans cette période de mort, de noirceur et d’étouffement, dans cette époque qui sera bientôt écrasée sous le joug féodal et battue sans relâche par les fourches d’un christianisme combattant tout ce qui lui résiste, que la sorcière apparaît, incarnant la résistance et le refuge.

Improvisations

Construire le chaos

Construire le chaos

À quoi cette construction systématique d’un chaos des lieux, des vies, des esprits et des âmes ; à quoi  fait-elle penser, sinon à certaines des heures les plus sombres, les plus tristes, les plus désespérantes pde l’histoire humaine ?

Read the postConstruire le chaos

Narcisse, des automates aux IA

Narcisse, des automates aux IA

C’est dans le plaisir à la fois narcissique et prométhéen d’avoir su donner apparence de vie à une créature à notre ressemblance, y compris ses défauts, qu’est le coeur de notre fascination pour les IA.

Read the postNarcisse, des automates aux IA

Que la montagne est belle (mais pas aussi passionnante que les femmes et les hommes)

Que la montagne est belle (mais pas aussi passionnante que les femmes et les hommes)

Nous sommes les enfants de la Chute et de Po-Io, le dresseur de chevaux, les héritiers de cette coupure d’avec le reste de la création, les filles et les fils de cette séparation initiale qui fit de nous ce que nous sommes. Et aussi liés que nous soyons avec les autres créatures, aussi intimement plongés que nous soyons dans le monde, nous sommes autres et jouissons d’abord de nous-mêmes.

Read the postQue la montagne est belle (mais pas aussi passionnante que les femmes et les hommes)

La mélancolie des orang-outans

La mélancolie des orang-outans

Nous sommes justement admiratifs de la rapidité et de l’efficacité des intelligences artificielles, de leur capacité à brasser une quantité phénoménale d’informations et à prendre des décisions dans l’urgence mais savons qu’au bout du bout et pour les choix les plus fondamentaux, il importe moins d’être rapide et efficace que de prendre le temps du recul, le temps de la mélancolie. C’est pourquoi, étonnamment,  à nos presque jumeaux : gorilles, et surtout chimpanzés et bonobos, nous préférons les orang-outans, ces cousins au regard pensif.

Read the postLa mélancolie des orang-outans

Les beautés IAratiques

Les beautés IAratiques

Les grands modèles de langage (LLM) spécialisés dans la production graphique, Midjourney, par exemple, sont capables de générer des images, des pseudo portraits photographiques notamment, d’une grande beauté. Ils font preuve par défaut (parce qu’entraînés sur des modèles de qualité) d’un excellent goût en matière de composition, de lumière, de choix des couleurs, de profondeur de champ, de tonalités.

Read the postLes beautés IAratiques

Images

Larve de coccinelle asiatique

Larve de coccinelle asiatique

Pavot à l’abeille

Pavot à l’abeille

La langue rose de la vipérine

La langue rose de la vipérine

Vipérine

Vipérine

Porte

Porte
©2025 Lignes | Powered by SuperbThemes