Quand vient la houle, quel plaisir que de sentir son corps, porté par la mer, onduler au gré des vagues, comme celui d’une chenille qui se promènerait dans un jardin, grimpant sur des brindilles puis en descendant.
Quand vient la houle, quel plaisir que de sentir son corps, porté par la mer, onduler au gré des vagues, comme celui d’une chenille qui se promènerait dans un jardin, grimpant sur des brindilles puis en descendant.
Scintillantes,Comme celles de ses yeux,Quand, furtif, un sourire y passe,Les étoiles marinesQui brillent le matinSur…
En ce jour de l’Assomption,Foin du bleu roi, du lapis-lazuli !,Notre-Dame avait revêtuSon beau manteau…